31 août 2010

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Opinions de quelques célébrités
sur
LE QUINQUINA DUBONNET
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Si j'ai cette voix d'or que le monde connait,
C'est grâce au Quinquina de monsieur Dubonnet.
(SARAH BERNHARDT).
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Ah ! je ne mettrais pas cette voilure pocharde
Dont tout le monde rit et que chacun brocarde
Si je n'eusse jamais bu dans mon cabinet
Que du Quinquina Dubonnet.
(REINE VICTORIA)
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Quand je n'étais au Havre encor qu'un pauvre sot
Je buvais simplement du bitter curaçao,
Maintenant que l'Etat lui-même j'incorpore
Je prends du Quinquina Dubonnet.
(FELIX FAURE)
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Lorsque j'aurai fini Rome, Paris et Lourdes
J'abandonnerai l'art d'Ohnet
Dont on me rabat les esgourdes,
Et je ferai paraître un livre de sonnets
Sur le Quinquina Dubonnet.
On verra si je suis le roi des gourdes !
(ZOLA)
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Depuis qu'avant chaque repas
Je fais donner à mes soldats
Un quart de Quinquina Dubonnet je puis dire
Qu'aucun d'entre eux n'entre à l'hôpital, même pour rire.
(Gnl POILLOÜE de SAINT-MARS)
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J'aime à lire le Courrier français
En buvant du Quinquina Dubonnet.

(BERENGER, sénateur)

*...*

J’étais depuis trois ans un végétarien
Endurci, mais cela ne me menait à rien,
Au contraire, j’allais dépérissant à vue
D’Œil. Diable ! ce serait, me dis-je, une bévue
Que de continuer ce régime benêt.
Mon ventre et mon cerveau se résoudraient en brumes.
Mais je te bois enfin, Quinquina Dubonnet,
Et mon cerveau travaille et mon ventre renaît
Et je ne perds plus mes légumes.

(SARCEY)

*...*
Je vis heureux dans cette pierre,
Les pieds sur mon chenet,
Tout en prenant mon verre
De Quinquina du bonnet

(LE CONCIERGE DE L’OBÉLISQUE)

*...*
Quand je n’étais encore que curé
Je pouvais, je vous le confesse,
A la rigueur dire la messe
Avec un méchant vin qui n’avait rien de vrai.
Aujourd’hui je suis évêque
Et de l’Église un gros bonnet.
Je ne la puis dire qu’avecque
Le vin de Quinquina des frères Dubonnet.

(Mgr GOUTHE-SOULARD)


Jadis je perdais la tête
Les jours d’exécution,
Mon ouvrage était mal faite,
Sans nulle précision.
Maintenant je prends un verre
De Quinquina Dubonnet
Chaque fois que j’ai… à faire.
Que si l’on me l’ordonnait,
Je crois que je pourrais me décoller moi-même,
Avec une assurance extrême.

(DEIBLER)

*...*
Je vous le dis en vérité,
Prenez du Quinquina Dubonnet,
Et vous serez en bonne santé
Et quand vous mourrez
Vous viendrez me retrouver
Dans la céleste cité.
Ça vaut mieux que d’aller au café,
Poil au nez.

(ARCHANGE GABRIEL)

pour copie conforme :
RAOUL PONCHON
Le Courrier Français
12 avril 1896

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