Quand mon verre est vide, je le plains ; quand mon verre est plein, je le vide.
Si quelque mien ami me convie à sa table,Je bois jusqu'à plus soif, mange comme trois loups ;Il est ravi, s'il est mon ami véritableEt que, s'il ne l'est pas, tu parles ! je m'en fous !RAOUL PONCHONLe Courrier Français04 déc. 1906
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